d’une volonté de faire perdurer l’atelier de danses africaines menacé .
C’est une rencontre et une fédération d’énergies positives qui ont permis cette création :
un groupe de filles qui a décidé de ne pas renoncer à une belle parenthèse hebdomadaire.
Cette première année d’existence a été riche en événements mais
également en démarches administratives menées
dans un esprit collaboratif et participatif au sein du conseil d’administration.
Notre participation enthousiaste au forum des associations de Gardanne le 10 /11/2016,
a permis de faire passer le nombre de danseuses de 11 à 32 cette année.